longtemps une même parole, aimée.
Revenir à la noyade
Comme à l'arraché de moi-même je reste sans visage.
J'ai lu L'avalée des avalés à 14 ans. Je crois que ça été le pilier sur lequel toute la cristallisation de mes pensées s'est construite. Lieux commun de dire que ça m'a mise au monde. Ouais. Mais je crois que Réjean Ducharme a starté le flo lent de ma parole; à petit drame, à petits mots; je cherche dans l'expression poétique à m'affranchir de quelque chose sans savoir très bien ce que c'est.
3 commentaires:
j'aime beaucoup.
J'aime aussi...
tu écris beaucoup?
p.s. j'suis une amie de mathieu, j'suis arrivée ici par hasard, après avoir vu le lien sur sa page facebook... Désolée de l'indiscrétion! Mais j'écris moi-même alors j'étais curieuse de voir...
J'Adore ce que tu écris c presque comme si tu prenais les mots désordonnés dans ma tete et que tu en faisais quelque chose de beau. Je t'envie bobette de savoir si bien écrire. bisous
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